Réveil dans la douleur.
Position debout adoptée avec difficultés.
Quelques étirements et ça va un peu mieux, mais ce n'est pas aujourd'hui que l'on se fera un marathon !
Aujourd'hui c'est journée plage au Grau du Roi (cf photo de l'article), Ze station balnéaire du coin.
Une heure de train pour y arriver, pendant laquelle je termine ma nuit (photo garantie sans trucage).
Le Grau du Roi c'est grand, c'est très commerçant, et en cette belle journée de fin Août y'a du peuple... c'est très vivant. C'est un peu le genre d'endroit qui doit être légèrement déprimant hors saison, quand il pleut, qu'il fait froid, que les rues sont désertées par les vacanciers retournés à Paris au travail et que les trois quarts des magasins sont fermés.
Au bord de la plage, une scène est montée, ce soir c'est bal populaire ! Les techniciens son essayent de faire le plus discrètement possible leurs réglages pour ne pas déranger les plageux.
Premier arrêt chez un glacier, Mathias veut tester la glace aux petits écoliers, voir si il y a vraiment des écoliers dedans. Je reste sur le caramel, mon parfum de prédilection (avec la banane).
Etant le garçon le plus organisé du monde, mon maillot de bain est resté à Paris, nous nous promenons donc dans les rues pour que je puisse en trouver pas trop cher.
Premier constat :Trois magasins sur quatre ne vendent que des maillots pour femmes. Comme quoi elles doivent être des cibles plus faciles pour l'incitation à la dépense... enfin je dis ça, j'dis rien...
Deuxième constat : Même le maillot le plus pourrit vaut plus de 20€. Ce qui me fait un peu chier vu que j'en ai un à Paris et deux à Rennes...
Nous continuons notre balade en matant au passage les jeunes en job d'été...
Finalement on trouve un magasin qui fait des promos plus intéressantes que les autres et je choisis le maillot le plus discret et direction PLAYA !
On s'installe. Il n'y a paradoxalement pas grand monde sur la plage. A deux pas de nous des enfants font un parcours pour leur ballon (un jeu auquel il n'y a pas d'age pour jouer).
On bronze, on se baigne... c'est chiant car il faut aller loin pour avoir un minimum d'eau vu que la plage est assez plate.
Mathias, dessinateur de formation, laisse parler son talent d'artiste sur le sable légèrement humide. Plus loin un auter artiste exhibe ses boules sur une sculpture éphémère.
18h, il est temps de retourner à Nîmes en essayant de faire sécher les serviettes dans le train hyper climatisé. Puis bus direction la zone d'activité nîmoise ce soir c'est soirée Kinepolis.
Encore, un multiplexe, n'en déplaise à ekkooo.
Pourquoi se faire une séance de ciné là alors que des cinémas y'en a plein à Paris ? Car ils font de la projection numérique pour certains films ! Et c'est beau ! Pour les parisiens, guettez le Max Linder Panorama, ils en font de temps en temps (« 300 » y était projeté en numérique par exemple).
Mais avant cela, un petit resto : Le Patacrêpe. Bonne crêperie, où l'on est bien rassasié.
Chose étonnante, ils proposent toutes leurs crêpes repas avec au choix froment, ou blé noir. Les galettes (à la farine de blé noir, aussi appelée sarrasin) sont habituellement réservées pour les crêpes repas salées et les crêpes (au froment) pour les desserts.
Le ventre bien plein, et l'esprit encore un peu perché par le cidre, nous allons voir Ratatouille en HD au Kinepolis.
Ayant déjà vu le film en projection argentique traditionnelle nous sommes en mesure de comparer... et y'a pas photo ! On redécouvre le film avec des textures aux détails incroyables, jusqu'à la moindre éraflure sur les ustensiles de cuisine, des effets mouillés que même un gel Loréal ne vous donnera pas... Nous sommes littéralement restés scotchés par ce spectacle !
Ensuite, les bus finissant leur service à 20h30 (!), et le cinéma se trouvant à l'opposé de l'auberge de jeunesse, nous avons découvert les petites rues de Nîmes by night.
Et ses bars, deux particulièrement qui avaient des ambiances totalement différentes, au même volume sonore. A votre gauche ambiance féria et Patrick Sébastien, à droite club house et David Guetta.
Un mix inédit qui se hisse au moins au niveau d'un Elvis VS La Compagnie Créole.
Les jambes un peu plus opérationnelles, nous nous attaquons à la désormais célèbre côte de l'auberge de jeunesse pour aller nous coucher (ça restait quand même une épreuve de force)
Position debout adoptée avec difficultés.
Quelques étirements et ça va un peu mieux, mais ce n'est pas aujourd'hui que l'on se fera un marathon !
Aujourd'hui c'est journée plage au Grau du Roi (cf photo de l'article), Ze station balnéaire du coin.
Une heure de train pour y arriver, pendant laquelle je termine ma nuit (photo garantie sans trucage).
Le Grau du Roi c'est grand, c'est très commerçant, et en cette belle journée de fin Août y'a du peuple... c'est très vivant. C'est un peu le genre d'endroit qui doit être légèrement déprimant hors saison, quand il pleut, qu'il fait froid, que les rues sont désertées par les vacanciers retournés à Paris au travail et que les trois quarts des magasins sont fermés.
Au bord de la plage, une scène est montée, ce soir c'est bal populaire ! Les techniciens son essayent de faire le plus discrètement possible leurs réglages pour ne pas déranger les plageux.
Premier arrêt chez un glacier, Mathias veut tester la glace aux petits écoliers, voir si il y a vraiment des écoliers dedans. Je reste sur le caramel, mon parfum de prédilection (avec la banane).
Etant le garçon le plus organisé du monde, mon maillot de bain est resté à Paris, nous nous promenons donc dans les rues pour que je puisse en trouver pas trop cher.
Premier constat :Trois magasins sur quatre ne vendent que des maillots pour femmes. Comme quoi elles doivent être des cibles plus faciles pour l'incitation à la dépense... enfin je dis ça, j'dis rien...
Deuxième constat : Même le maillot le plus pourrit vaut plus de 20€. Ce qui me fait un peu chier vu que j'en ai un à Paris et deux à Rennes...
Nous continuons notre balade en matant au passage les jeunes en job d'été...
Finalement on trouve un magasin qui fait des promos plus intéressantes que les autres et je choisis le maillot le plus discret et direction PLAYA !
On s'installe. Il n'y a paradoxalement pas grand monde sur la plage. A deux pas de nous des enfants font un parcours pour leur ballon (un jeu auquel il n'y a pas d'age pour jouer).
On bronze, on se baigne... c'est chiant car il faut aller loin pour avoir un minimum d'eau vu que la plage est assez plate.
Mathias, dessinateur de formation, laisse parler son talent d'artiste sur le sable légèrement humide. Plus loin un auter artiste exhibe ses boules sur une sculpture éphémère.
18h, il est temps de retourner à Nîmes en essayant de faire sécher les serviettes dans le train hyper climatisé. Puis bus direction la zone d'activité nîmoise ce soir c'est soirée Kinepolis.
Encore, un multiplexe, n'en déplaise à ekkooo.
Pourquoi se faire une séance de ciné là alors que des cinémas y'en a plein à Paris ? Car ils font de la projection numérique pour certains films ! Et c'est beau ! Pour les parisiens, guettez le Max Linder Panorama, ils en font de temps en temps (« 300 » y était projeté en numérique par exemple).
Mais avant cela, un petit resto : Le Patacrêpe. Bonne crêperie, où l'on est bien rassasié.
Chose étonnante, ils proposent toutes leurs crêpes repas avec au choix froment, ou blé noir. Les galettes (à la farine de blé noir, aussi appelée sarrasin) sont habituellement réservées pour les crêpes repas salées et les crêpes (au froment) pour les desserts.
Le ventre bien plein, et l'esprit encore un peu perché par le cidre, nous allons voir Ratatouille en HD au Kinepolis.
Ayant déjà vu le film en projection argentique traditionnelle nous sommes en mesure de comparer... et y'a pas photo ! On redécouvre le film avec des textures aux détails incroyables, jusqu'à la moindre éraflure sur les ustensiles de cuisine, des effets mouillés que même un gel Loréal ne vous donnera pas... Nous sommes littéralement restés scotchés par ce spectacle !
Ensuite, les bus finissant leur service à 20h30 (!), et le cinéma se trouvant à l'opposé de l'auberge de jeunesse, nous avons découvert les petites rues de Nîmes by night.
Et ses bars, deux particulièrement qui avaient des ambiances totalement différentes, au même volume sonore. A votre gauche ambiance féria et Patrick Sébastien, à droite club house et David Guetta.
Un mix inédit qui se hisse au moins au niveau d'un Elvis VS La Compagnie Créole.
Les jambes un peu plus opérationnelles, nous nous attaquons à la désormais célèbre côte de l'auberge de jeunesse pour aller nous coucher (ça restait quand même une épreuve de force)
A suivre...
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